Le rôle possible des collectivités pour développer les low-tech

Le quotidien Reporterre a publié un article dédié aux low-tech et aux difficultés de son développement en France, revenant notamment sur le rôle possible des collectivités pour développer les low-tech.

Formé par antonymie avec le « high-tech », ce terme désigne des innovations sobres, agiles et résilientes, devant contribuer à l’émergence d’une société plus économe en ressources et en énergie.

L'article rappelle que les collectivités ont un rôle crucial à jouer dans le développement des low-tech, au travers de différentes actions possibles : "[Soutien aux associations et aux entreprises locales engagées dans la démarche, adoption d’innovations en technologie sobre au sein des bâtiments publics afin de permettre au grand public de les expérimenter, création d’espaces de pédagogie dans les mairies…] [La région Bretagne, par exemple, forme ses agents à la démarche, et soutient financièrement des expérimentations à l’échelle du territoire. L’agglomération de Lorient a créé une subvention à destination des particuliers souhaitant se former à l’autoconstruction de capteurs solaires thermiques, tandis que des discussions sont en cours dans la ville de Bordeaux quant à l’installation, au cours des deux prochaines années, de toilettes sèches au sein de l’Hôtel de ville et dans d’autres bâtiments publics]. 

Plus d'informations sur Reporterre.net.

Un groupe de travail du Labo de l'ESS "pour des métropoles low-tech et solidaires", auquel contribue le RTES, doit produire un rapport d'ici la fin d'année 2021.